Notre hôtel est au cœur de la vieille ville dans une ruelle
qui sert de parking à motos tant les rues sont encombrées. Point de trottoir
pour les piétons car ils servent de restaurants ou de petits commerce.
D’ailleurs nous y mangeons notre premier Bun Chà, des brochettes de porc
grillées accompagnées de pâtes de riz et de quantités d’herbes aromatiques
toutes plus parfumées les unes que les autres. Un régal ! Nous
l’attendions avec impatience (c’est une recette du nord) car c’est une des
spécialités que nous aimons servir à nos invités et nous nous targuons de la
réussir…Nous ne sommes pas encore au niveau, surtout dans la variété des herbes
que nous servons avec.
Nous partons à la découverte de la ville. Chaque rue porte
le nom des commerces qu’on y trouve : Il y a celle des ferblantiers, celle
des jouets (des cochonneries chinoises comme Tugdual les appelle), de la
mercerie, du bambou, de la soie et bien d’autres encore.
Malgré le solide sens de l’orientation de Stéphane nous
finissons par tourner en rond tant l’accumulation de câbles électriques, les
norias de motos, les innombrables agences de voyages et la multitude des stands
de rue de toutes sortes flouent nos repères d’occidentaux bien rangés.
Valentine et Marie avouent qu’elles ont du mal à se faire au bruit et à
l’agitation de Hanoi. Quant à moi je finis par avoir le tournis tant mes yeux
et mes oreilles sont sollicités à chaque pas. Il y a tant à voir que je ne sais
plus où donner de la tête.
Nous réservons nos places pour le spectacle de marionnettes
sur l’eau et nous apprêtons à vivre un moment magique.
Une rue de la vieille ville.
Le coin des bonbons.
Une fleuriste ambulante.
Une de ces innombrables gargottes de rue.
Spécialité de poulets.
Fruits de mer et crapauds au premier plan dans le filet rouge.
Un marché.
De séduisants masques.
La rue de la soie.
La rue des lampions.
La rue du bambou.
La rue des merciers.
Pause glace au bord du lac Hoa Kiem.
Jungle de câbles dans la ville.
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